Région d'origine ●  Noregr. Date de naissance ● Tólf (12)  Einmánuður 1261. Âge ● 35 ans. Nature du sang ● Pur. Particularités magiques ● Aucune. Métier/études ● Guerrier sur le loup des mers l'été & chasseur de monstres l'hiver. ( si on veut bien de moi :o)

Il aurait battu un ours à mains nues. - Avec sa sœur d'épée, ils sont surnommée les Epées Jumelles du Noregr. - Tout le monde sait qu'il cherche à fonder son propre équipage. - C'est un fanfaron local se ventant de ses exploits avec sa sœur d'épée. - Excellait en Dracologie et en Duel à Dürmstrang. - Son village a été détruit par un Dragon - A sauvé Alwine de la bête. - Il déteste toutes les créatures magiques. - De rares personnes pensent qu'il a tué un dragon malgré le fait qu'il dit avoir perdu sa trace. -

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Et vous, la pureté du sang, vous en pensez quoi ?

Le sang est important, car pour la gloire de nos ancêtres et celle de nos descendants, il faut montrer qu'on mérite ce cadeau: celui d'être né dans une famille de sang pur. Le sang est donc important mais il faut s'en montrer digne avant tout, les quelques sang-mêlés qui trouvent grâce à mes yeux sont ceux qui sont de très bon guerriers les autres ne méritent qu'une mort rapide.


Si vous ne deviez jurer que par un seul mage ancestral, ça serait lequel ?

Baldr, car la chance ne m'a jamais quitté sur les flots et au combat. Les autres mages sont tous aussi grands mais, j'ai toujours besoin de chance et les alchimistes pompeux ne m'ont jamais plu. Je préfère les braves courageux qui marchent fièrement vers la bataille l'arme à la main pour combattre avec la chance de Baldr et le talent de Hel.


Quel souvenir avez-vous du labyrinthe de Dürmstrang ? Ou ça vous fait envie ?

Le Labyrinthe, la preuve qu'on est bien ce qu'on prétend pour certains, une aventure pour d'autres et un enfer pour ceux qui restent. J'ai souvent pensé dans mon enfance que j'allais mourir en y allant... Avec tout ce qu'on racontait sur ce dédale mais, par la suite j'ai saisie mon courage comme un vrai sang-pur l'aurait fait et j'ai avancé vers le destin qui me tendait les bras. Après des bleus, des écorchures, de la boue partout je suis sorti dans les premiers du labyrinthe pendant ma première année ce qui m'a valu tous les honneurs une fois de retour au village. Le labyrinthe a su éprouver mon courage et ma force c'est une épreuve je pense qu'après coup, que tout bon viking doit faire  

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HISTOIRE DU PERSONNAGE :
Mon nom est Wulfric Sigvaldson, j'ai environ trente-cinq hivers, je suis né dans le village de Estriborg, dans le Noregr. Mon père est Thorsten fils de Gunnar, un excellent guerrier de la région et un bon magicien.
J'ai vite compris qu'il me fallait être à la hauteur de mes ancêtres et ma première épreuve n'a pas tardé à arriver : le fameux labyrinthe. Beaucoup en ont entendu parlé, une épreuve, surveillée par des monstres afin de tester la pureté, la force, et l'intelligence des futurs étudiants. En mon cœur j'avais peur de ce jour, peur d'être arraché à mon village, à mes douces forêts pour l'école de magie mais, pas le choix lorsqu'on est le fils d'un guerrier. J'ai pris mon courage à deux mains comme un vrai viking et sans peur j'ai marché vers mon avenir. Lorsque je suis arrivé devant le labyrinthe, j'ai toisé un instant le garde-chasse. Si lui n'avait pas peur, pourquoi le devrais-je ? Armé de mes seuls poings j'ai commencé à marcher, des bruits semblaient faire échos à mes pas et les voix de mes camarades raisonnaient un peu partout c'est là que les contes que me contaient ma mère pour rester sage me revenaient en mémoire : ces histoires parlaient des monstres du labyrinthe.Je ne tremblais pas, néanmoins, lorsqu'une chose est sortie du noir et m'a regardé. Je n'oublierais probablement jamais ce regard, ces yeux luisants dans les ténèbres, rivés sur moi. C'est alors que je me suis écrié:« PAR TOUS LES DRAUGR ! VIENT TE BATTRE VERMINE ! » J'ai saisi une branche épaisse au sol et m'en servant comme d'un gourdin j'ai foncé sur la bête qui a grogné ? Gémis ? Elle a foncé sur moi lorsque je lui ai donné un coup de branche dans la tête et j'ai glissé sous elle pour arriver de l'autre côté et j'ai fini le reste du chemin en courant avec mon gourdin de fortune et je suis arrivé le premier avec quelques bleus et quelques écorchures. C'est là qu'a commencé mon apprentissage, à Dürmstrang. Il y a beaucoup de choses qui m'intéressaient à l'école, les duels, les créatures magiques mais, surtout les dragons comment ne pas admirer une bête capable de faire fondre les métaux les plus solides ?
Je me suis passionné pour ces animaux mais, mon rêve était d'avoir mon propre équipage et de sillonner les mers. Entre temps je suis devenu la fierté du village comme celui qui les représentait le mieux, j'avais une certaine réputation et je me devais la maintenir alors quand on m'a parlé de cette Alwine Svennson qui partirait bientôt à l'école je me suis fait un devoir particulier de lui rappeler qu'elle n'était qu'une pauvre petite fille qui allait se faire manger tout rond par la première bête qui la verrait. Elle a surpris le village en écrasant ma performance mais, comment une sale petite gamine trouillarde a-t-elle put faire l'exploit ? Probablement en trichant, en se faisant aider, elle devait cacher quelque chose, c'est impossible ! Je devais lui rabattre l'envie de devenir plus forte que moi et rappeler qui j'étais ! Je l'ai défié devant la population du Village c'était il y a si longtemps pendant l'hiver de ses quatorze ans. J'avais enfilé pour l'occasion mon armure, mon bouclier et ma longue sverð pour combattre. Faisant le tour de mon adversaire pour le jauger j'ai tenté une rapide charge pour la déséquilibrer et prendre cette victoire qui me revenait de droit mais, elle m'a envoyé balader en esquivant mon coup comme tous ceux qui vinrent, alourdit par mon armure qui ne me permettait pas un rapide mouvement, j'ai fini par me prendre un coup à l'arrière du crâne et je me suis effondré par terre, sonné.


Mon père en a ri pendant dix jours, heureusement que ça le faisait rire pour deux parce que, je n'avais aucune envie de rire, moi. Vaincu par une femme.... UNE FEMME ! Impossible ! Je suis Wulfric ! J'ai médité cette défaite dans mon esprit et mon cœur et je me suis endurcit encore plus je me suis enterré sous une armure tellement haute, que je ne faisais plus qu'attention à ça, devenir plus fort je devais battre cette sale petite peste et reprendre ma place ! Lorsque je suis sorti de l'école, mon père venait de mourir, étant parti à la chasse dans les montagnes avec d'autres hommes, il avait été fauché par un troll, certains disaient que mon père avait tué le troll mais, que dans un dernier soubresaut de vie il l'avait envoyé d'un revers de poing en bas de la montagne . Je fus anéanti, solitaire, je ne traînais plus que dans les alentours du village. Je n'étais pas encore conscient de ce qui allait arriver mais, je m'étais résolu à quitter le village à l'aube.

Lorsque j'ai ouvert les yeux et quitté mon lit j'ai rapidement regardé dehors, rien, de la brume mais, personne dans les alentours.J'ai chargé mon baluchon saisissant ma lance et mon bouclier et je suis parti. J'ai quitté le village et lorsque je fus à l'orée du bois je ne croyais pas ce que je voyais dans le ciel, une forme survolait le village, en l'observant de loin on aurait surtout dit un gros oiseau mais, la forme commença à s'approcher, les arbres commençait à s'agiter autour de moi lorsque les moins robuste craquèrent sous l'assaut du vent. Afin d'éviter de recevoir toute la poussière et les éclats dégagés par le battement de ses ailes j'ai couvert mes yeux lorsque cela a enfin cessé, j'ai d'abord entendu un hurlement et lorsque j'ai ouvert les yeux c'était comme si le Ragnarök était arrivé, des flammes balayaient les chaumières et ses griffes massacraient les hommes qui tentaient de résister, un carnage sans nom se profilait à l'horizon. Wulfric tremblait dans son coin, observant le village du coin de l'oeil et la forêt de l'autre.
Il commença à se diriger vers la forêt avant de faire demi-tour en soupirant il posa ses affaires sur un rocher et se saisit de sa lance et vérifiant que son épée était bien à son côté, il s'élança vers le village en se baissant pour éviter que le dragon ne le voit pas arriver ou tout simplement parce qu'il se sentait en sécurité comme ça ? Le dragon était maintenant sur la place du village empêchant ceux qui le tentaient de s'enfuir. Wulfric s'élança entre les maisons avant de s'élancer sur un tonneau et de sauter sur la toiture en foin d'une maison, il commença à se hisser au-dessus mais, le foin ne tenait pas sous son poids et une de ses jambes était coincée, il mit quelque minute avant de pouvoir sortir sa jambe profitant que le dragon s'occupe d'un petit troupeau de mouton dans leur enclos. Il grimpa sur le toit et attendit prêt avec sa lance que l'immonde bête ne tourne l’œil vers lui. Lorsqu'elle se détourna enfin vers lui il lança sa lance droit sur elle avant de passer au travers du foin dans la chaumière, heureusement qu'une table se trouvait là pour amortir sa chute . Sa chute amortit et plus de peur que de mal, Wulfric se releva en grognant et avisant le dragon, il remarqua que sa lance s'était fiché dans son œil, un petit rire sorti machinalement de sa bouche comme pour conjurer la peur, il profita qu'une diversion agite l'ouïe du dragon ailleurs pour détaler de sa cachette. Il s'approcha de ceux qui en profitaient pour s'enfuir afin de les aider lorsqu'un cri retentit en arrière, il se retourna essayant de trouver sa source lorsque le père de son ennemi jurés se mit à hurler « Wulfric ! Wulfric ! Va aider Alwine ! Elle est bloquée par le dragon, elle ne peut pas s'enfuir ! » Avisant un instant la forêt et le dragon c'était un gros dilemme : fuir vers la forêt et vivre, ou prendre son courage à deux mains et sauver Alwine, son ennemi, celle qui l'avait déchu de son rang de meilleur guerrier du village ... Non ! Elle n'allait pas finir comme ça ! Il comptait bien obtenir sa revanche ! Le guerrier scandinave se saisit de son épée et fonça à travers les maisons, soufflant un instant il se dissimula dans une masure, sa rivale semblait en péril mais pas immédiatement. Le dragon tentait encore d'extraire la lance qui était dans son œil, c'était maintenant ou jamais : Wulfric s'élança en courant et saisit Alwine par le bras, il se mit à courir à travers les maisons, cherchant à courir au plus vite vers le bois. Il balança Alwine à terre à côté de ses affaires avant de dire « Bon tu lèves tes petites miches ou quoi ?! » N'ayant aucune réponse, il s'approcha d'elle et posa une main sur son épaule, et pas ailleurs, pour la retourner vers lui, elle semblait dormir ... A moins qu'elle ne soit morte ? Wulfric approcha son oreille de sa bouche, il y avait semble-t-il encore de l'air qui sortait de sa bouche. Il caressa sa tête et lui envoya une claque mais, rien. Il vérifia si lui n'était pas blessé mais, à part quelque égratignure lors de sa chute et des bleus, rien de sérieux. Il saisit ses affaires sous son bras et tira Alwine sur ses épaules, elle était bien plus lourde qu'il ne l'aurait cru. Il voulait sa revanche, pas question qu'Alwine s'en aille avec une mort-de-paille.


Il monta son campement plus haut dans la montagne, profitant de sa position pour observer Alwine pendant qu'elle dormait. Plus il l'observait dans cette position de faiblesse, plus il en arrivait à vouloir s'occuper d'elle. Ils semblaient être les deux seuls survivants de leur village. Inquiet malgré lui, il s'approcha d'Alwine et posa ses mains sur ses tempes pour voir comment elle allait.. Il aurait pu l'emmener chez un guérisseur, mais le plus proche était à des kilomètres. Il aurait voulu jurer sur tous les mages ancestraux et maudire les Nornes, un dragon avait détruit leur village et tué la quasi-totalité des habitants et maintenant il devait s'occuper d'un boulet pareil. Il observa un instant la fumée qui montait du feu comme s'il lui ouvrait les yeux, il devait partir sur les traces de la bête dès qu'Alwine irait mieux. Il commença à remuer sa soupe de lapins avec un air morne avant de sentir quelque chose de de pointus dans son dos, il se tourna instinctivement et remarqua qu'Alwine avait son épée posée contre son dos. Il saisit un bol doucement en disant « Tu peux me tuer si tu veux mais, j'en doute vu comment tu chies dans ton froc lorsque tu vois un dragon ... Mauviette ! Tu ferais bien de retourner à l'école avant que je te laisse à manger aux trolls » Il décala lentement sa lame de son dos et se leva pour aller jusqu'à ses affaires. Il mangea rapidement et s'endormit avant de se réveiller aux premières lueurs du jour, saisissant ses affaires, il les balança sur son dos et se dirigea vers le village pour savoir vers où le dragon était parti. Les lieux n'étaient plus que désolation... Les derniers survivants pleuraient encore sur les ruines de leurs parents, de leurs amis, de leurs frères. Wulfric réunis quelques volontaires pour partir à la poursuite de la créature. Il remonta la piste avec ses volontaires jusqu'à une maison à demi en ruine et ils s’élancèrent sur ses traces, lorsqu'elles finirent par s'arrêter devant les hautes montagnes du nord. La bête semblait avoir prise son envol vers sa cachette. Wulfric ne se débina pas pour autant et avec ses hommes, ils fouillérent les montagnes pendant presque un an, ils a parcoururent la Scandinavie à la recherche de rumeurs, de traces, de signes mais, rien. La bête avait disparu probablement agonisant dans une grotte sombre et humide.

Wulfric ne savait plus que faire, cela faisait maintenant un an qu'ils étaient sur les routes. Il songea un instant à ce qu'il savait faire, tuer, chasser et cuisiner le lapin mais, hors de question de devenir cuisinier et son rêve semblait hors d'atteinte sans argent et sans équipage. Il se rendit dans toutes les grandes villes de Scandinavie offrant ses services de chasseur de créatures magiques abandonnant le reste de la compagnie qui n'ayant plus de chef se dispersa. C'est dans ces conditions qu'il retrouva Alwine qui n'était plus qu'un simple forgerons à Skulli. Wulfric avec cette année dans la nature c'était assagis et la rancœur d'autrefois avait fait place à la joie des retrouvailles. La vie de son ancienne ennemie semblait ne plus lui convenir alors Wulfric lui proposa de se joindre à lui et de former un duo de chasseur de monstre et en se taillant une réputation au fil de leurs épées.  que naquit le surnom des « Epées Jumelles du Noregr » .  Après près de trois ans à chasser des monstres, Wulfric et Alwine furent recruté dans l'équipage de Dagmar Raudi, ce dernier ayant eu vent de leurs qualités de combattant depuis son Langskip le loup des mers. Depuis, Wulfric sillonne les flots l'été et vend ses services l'hiver afin de gagner assez d'argent pour construire son propre Langskip.